Tire-langue de Carmalt
Pince articulée à deux branches : d’un coté les anneaux pour passer les doigts, de l’autre, une branche se termine par une fourche recourbée à deux dents et l’autre par un plateau qui sert de butoir aux pointes de la fourche.
Pince articulée à deux branches : d’un coté les anneaux pour passer les doigts, de l’autre, une branche se termine par une fourche recourbée à deux dents et l’autre par un plateau qui sert de butoir aux pointes de la fourche.
Pince articulée à deux branches : d’un coté les anneaux pour passer les doigts, de l’autre, une branche se termine par une fourche recourbée à deux dents et l’autre par un plateau qui sert de butoir aux pointes de la fourche.
Éléments en cuivre ayant appartenu à un appareil électrique destiné à élever la température de l’eau : large entonnoir avec une tubulure latérale et une résistance, cinq disques concentriques avec chacun un orifice central, disque percé de sept orifices avec chacun un couvercle muni d’un bouton de bakélite.
Uniforme constitué d’un costume, d’un chemisier et cravate , d’un manteau, d’un béret. Le costume est composé d’ une jupe droite à pan allant jusqu’aux genoux, d’une veste à basques droites, fermée par trois boutons métalliques et ceinturée à la taille. Elle est munie de quatre poches à pli et à revers en pointes, fermées par des boutons, dont deux petites poches poitrine. Le manteau se ferme avec cinq boutons, son col à revers est orné de chaque côté d’un écusson en tissu noir bordé de rouge avec au centre une croix rouge sur fond blanc. C’est un manteau, à manches raglan, à capuche et épaulettes, à deux poches fendues avec revers plat en biais. Tous les boutons de cet uniforme sont en métal argenté et décorés de l’insigne de la Croix Rouge. La veste, le manteau, la capuche en drap épais bleu marine sont doublés d’un tissu brillant bleu marine. La cravate porte également l’insigne de la Croix Rouge. Une tenue de sortie.
L’armoire d’officine de Paimpol est un buffet en chêne à double corps :
Le style de ce meuble évoque l’Art Nouveau apparu en Europe à la fin du XIXe siècle.
Vingt-huit pots de pharmacie en verre de couleur bleu, à bouchons métalliques peints en rouge et or, à étiquettes en céramique blanche identifiant le contenu, sont disposés sur les étagères.
Cet appui-cranien est un équipement adapté du casque du Dr Ginestet.
Il comprend trois arceaux métalliques concentriques de taille différente.
Les arceaux moyen et inférieur sont solidaires. Trois trépans équipent l’arceau inférieur. L’arceau externe est orientable.
C’est un trocart constitué d’une aiguille biseautée à garde fixe sur laquelle se posent les doigts de l’opérateur, et d’un mandrin muni d’une poignée permettant un appui dans la paume de la main. Le majeur et/ou l’index de l’opérateur font office de butée. Il permet la ponction aspiration de moelle osseuse par ponction du sternum pour l’étude morphologique des cellules médullaires.
Le trocart à ponction d’ascite ou trocart abdominal est constitué d’une tige métallique de forme cylindrique terminée par une pointe triangulaire comportant trois arêtes coupantes. Il est contenu dans une canule ne laissant émerger que la pointe.
Le trocart est équipé d’une poignée.
L’aiguille à biopsie de Franklin-Silverman, modification du modèle standard de Vim-Silverman utilisé pour les biopsies hépatiques, est constituée de trois éléments :
Ces instruments sont placés dans une boite en carton portant le nom du fabricant « V Mueller & Co ».
Une notice technique d’utilisation est présente dans la boite.
C’est un livre relié, de 300 feuilles sur lesquelles sont imprimées 8 colonnes qui permettent d’indiquer : les dates, nom du pharmacien ou du préparateur, des numéros d’ordre, la forme des préparations, la composition des médicaments (substances employées et leur quantité), le nom du malade, le prix du médicament. Les numéros d’ordre sont rappelés sur une tranche du livre (N°528563 au 534290).
Dans un préambule, figurent le tableau officiel des substances vénéneuses, A pour les moins nocives, B pour les plus dangereuses et le rappel des décrets de loi du 14/09/ 1916 et 20/03/1930, puis les codes couleur à apposer sur les flacons de produits selon leur catégorie.
Une page, datée du 12 janvier 1935, porte le nom du pharmacien M Brard à Dinan (Côtes du Nord) et celui du commissaire de police M Peyrut Guy qui a paraphé ce registre et s’est assuré de la traçabilité des produits utilisés pour la fabrication des médicaments.