Forceps de type Levret-Beaudelocque (Charrière)

Le forceps (du nom latin tenaille) est un instrument d’extraction du fœtus hors des voies génitales. Il s’agit d’un instrument à branches croisées.

Il est composé de deux branches qui comportent une cuillère, une entablure et un manche. La cuillère constitue la partie essentielle du forceps. Elle est formée d’une spatule évidée appelée « fenêtre ». L’entablure fait suite à la cuillère ; elle n’existe que dans les forceps croisés et permet l’articulation des branches. L’articulation se fait par vis que l’on serre de façon ferme mais non excessive. La branche gauche, dite mâle, est toujours la branche porteuse du pivot à vis. La branche droite, dite femelle, est porteuse de l’encoche recevant le système d’articulation. Les branches  comportent un crochet et un perforateur en bouts de manches.

Forceps de Tarnier

Le forceps (du nom latin tenaille) est un instrument d’extraction du fœtus hors des voies génitales. Il s’agit d’un instrument à branches croisées.

Il est composé de deux branches et d’un tracteur :

  • Chaque branche comporte une cuillère, une entablure et un manche. La cuillère constitue la partie essentielle du forceps. Elle est formée d’une spatule évidée appelée « fenêtre ». L’entablure fait suite à la cuillère ; elle n’existe que dans les forceps croisés et permet l’articulation des branches. L’articulation se fait par vis que l’on serre de façon ferme mais non excessive. La branche gauche, dite mâle, est toujours la branche porteuse du pivot à vis. La branche droite, dite femelle, est porteuse de l’encoche recevant le système d’articulation. Le manche présente à son extrémité distale un crochet dirigé vers l’extérieur pour empêcher les mains de glisser et faciliter la prise lors de son introduction.
  • Le système de traction comporte 3 parties : une tige horizontale distale terminée par une douille munie d’un curseur qui permet l’articulation avec les tigelles ; elle s’articule avec une tige verticale intermédiaire qui est articulée avec le centre d’un cylindre horizontal qu’on appelle palonnier sur lequel s’effectue la traction des deux mains. Toutes les articulations de ces pièces sont mobiles laissant le jeu des branches indépendant de la traction.

 

Porte – amalgame

Le porte-amalgame est un instrument en forme de seringue à piston. Il est constitué d’un tube creux légèrement courbé dans lequel circule un piston actionné par un bouton pression en bout de l’instrument. A l’autre extrémité le piston traverse un embout vissé. Cet embout peut être interchangeable en fonction du diamètre du produit transporté. Au milieu une bague permet de bloquer l’index et le majeur pour permettre l’enfoncement du bouton pressoir par la paume de la main. Une vis près du bouton pression permet de régler la quantité du produit déposé.

Mortier – Pilon

Le mortier utilisé couramment en dentisterie est un récipient en verre épais, à fond arrondi.

Le pilon est une barre en verre, à bout arrondi, l’autre extrémité étant renforcée.

Lancette et bistouri à cataracte

La lancette est constituée d’une extrémité triangulaire recourbée. Le bistouri se présente sous la forme d’un fin couteau porté par un manche en ivoire. Les deux instruments sont gravés « Weiss London ».

Ils sont placés dans un coffret capitonné de velours bleu, équipé d’un fermoir métallique. Sur la face inférieure du couvercle se trouvent incrustées en lettres d’or les coordonnées du fabricant : « J. Weiss & son 287 Oxford street London ».

 

Dessicateur de laboratoire en verre

Le dessicateur de laboratoire en verre est constitué d’une cuve circulaire. Elle présente deux parties séparées par un étranglement qui retient une grille circulaire perforée en porcelaine.

La cuve est surmontée d’un couvercle présentant un orifice pour la branchement d’une pompe à vide. La liaison des deux parties est réalisée par un rodage en verre pour une excellente tenue au vide.

Support pour ébouillantage de moufles

Ce support est constitué d’une plaque métallique de forme rectangulaire arrondie aux angles et percée au centre d’un cercle. Sur chaque petit côté de la plaque sont fixés deux anneaux dans lesquels une grande anse s’articule. Ces deux anses, très allongées, sont légèrement courbées en haut et vers l’intérieur.

Prothèse définitive obturative

Cet objet est constitué de deux parties. D’un modèle en plâtre comportant sept dents à droite et d’une gencive sans dents à gauche avec une fente palatine prononcée. Un appareil dentaire de sept dents en vulcanite s’adapte dans la partie lésée, comblant ainsi la perforation palatine. Il s’accroche à certaines dents du modèle à l’aide de deux crochets.